Nuit d'Eté - Dan Simmons (1991)
Posté: Vendredi 13 Septembre 2013, 07h24
4eme de couverture :
Les pensionnaires d'un internat de l'Illinois sont les témoins d'une série d'événements mystérieux et terrifiants : l'un d'entre eux disparaît, des bruits incompréhensibles se font entendre, un soldat de la Première Guerre mondiale réapparaît... L'enquête menée par un petit groupe de collégiens va les mener vers les bâtiments gothiques d'une ancienne école abandonnée, Old Central. Et c'est, au cœur de l'été, le plus insoutenable des face-à-face qui commence : celui qui met aux prises l'innocence avec la plus monstrueuse terreur qu'on puisse imaginer...
Bon, que dire si ce n'est que j'ai vraiment eu du mal à le finir. Simmons nous a offert mieux. Ici, il se laisse aller à des descriptions interminables qui cassent le rythme. La crédibilité des enfants d'à peine une douzaine d'années et qui sont à même de résoudre et comprendre des problèmes ésotériques me semble bien compromise. Seul intérêt, un hommage à Lovecraft et à ses entités mystérieuses enfouies et qui n'ont de cesse que de se gargariser de Mal et de sang. Mais même là, on en aurait attendu plus.
L’École méritait aussi qu'on s'y attarde, au lieu de nous décrire durant des pages les parcours à vélos de nos petits héros. Du fantastique, donc somme toute classique mais longuet sur lequel on peut faire l'impasse. Dommage.
Les pensionnaires d'un internat de l'Illinois sont les témoins d'une série d'événements mystérieux et terrifiants : l'un d'entre eux disparaît, des bruits incompréhensibles se font entendre, un soldat de la Première Guerre mondiale réapparaît... L'enquête menée par un petit groupe de collégiens va les mener vers les bâtiments gothiques d'une ancienne école abandonnée, Old Central. Et c'est, au cœur de l'été, le plus insoutenable des face-à-face qui commence : celui qui met aux prises l'innocence avec la plus monstrueuse terreur qu'on puisse imaginer...
Bon, que dire si ce n'est que j'ai vraiment eu du mal à le finir. Simmons nous a offert mieux. Ici, il se laisse aller à des descriptions interminables qui cassent le rythme. La crédibilité des enfants d'à peine une douzaine d'années et qui sont à même de résoudre et comprendre des problèmes ésotériques me semble bien compromise. Seul intérêt, un hommage à Lovecraft et à ses entités mystérieuses enfouies et qui n'ont de cesse que de se gargariser de Mal et de sang. Mais même là, on en aurait attendu plus.
L’École méritait aussi qu'on s'y attarde, au lieu de nous décrire durant des pages les parcours à vélos de nos petits héros. Du fantastique, donc somme toute classique mais longuet sur lequel on peut faire l'impasse. Dommage.